Comme Olivia inaugure sa galerie avec son talent d'artiste, j'ai décidé de faire de même avec mon talent pour l'écriture. Je pense publier des poèmes ou écrits faits il y a quelques années car je n'écris plus trop maintenant (ou du moins, les 2/3 poèmes de ces derniers mois je me tâte encore à les publier) mais je voulais surtout commencer en vous présentant un texte dont j'ai déjà parlé à certaines personnes. J'avais notamment dit à Artie que je le lui montrerai et comme je viens de le réécrire sur l'ordinateur...

Je précise donc, ce texte a été fait selon un thème et pour un concours lorsque j'avais 14 ans (quatrième) donc soyez indulgents, les incohérences sont nombreuses mais je pense réécrire le texte tantôt afin de le rendre logique et le peaufiner un peu et donc le thème de cette année-là était de commencer son texte par "aujourd'hui il/elle est parti(e)" et de le terminer par "un jour peut-être, tout ira mieux"

Enjoy

Aujourd'hui, il est parti dans un autre monde, meilleur qui sait... Ce matin dans les journaux, j'ai lu que de braves gens s'étant battus pour leur liberté venaient de s'éteindre. Effectivement, ça s'est passé extrêmement vite... Je me demande comment c'est arrivé. Hier on jouait ensemble dans les champs et aujourd'hui, il n'est plus ici. Seulement pour moi, tout est allé si vite... Nous étions tous les deux, le monde nous appartenait et aujourd'hui ta vie t'as échappé tandis que la mienne s'effondre... Comme un jour tu me l'as fait promettre, je dirais au revoir à ta famille de ta part. Les champs de notre enfance ont été trop beaux pour pouvoir t'y voir périr... Aujourd'hui, des camps ont prit leur place. Aujourd'hui, je sens l'odeur de la mort s'approcher de moi... Hier pourtant, tout était si beau ! Hier, l'odeur des fleurs envahissait nos pleins poumons alors qu'aujourd'hui je ne sens plus rien, comme toi hier lorsque tu t'es éteint. A la télé et dans les journaux, ta photo et celle de tous ceux qui ont péri à tes côtés me rend triste. Mon cœur ne peut supporter une telle peine. Les choses décidément ne s'arrangent pas. Alors que tout deux nous avions prévu de nous créer un monde meilleur, aujourd'hui je pense que ce n'est plus possible. En ce moment même ma peine est immense. Je ne sens plus rien, des images horribles se déroulent devant mes yeux... La guerre t'as tué hier et moi aujourd'hui. Cette étoile jaune sur ma veste me prouve que ce monde est cruel. Les camps de concentration le prouvent... Cette guerre pour nous deux est la dernière. Mondialement, c'est la pire. Je te rejoins malgré ma tristesse, car pour moi la vie est un cadeau, et je vois que cet homme me l'enlève horriblement... Tout ce que je me suis dit jusqu'ici, c'était pour me consoler, mais je crois que cette phrase va pouvoir cesser. « Un jour peut-être, tout ira mieux... »

Non mais t'es vraiment qu'une copiteuse toi



Non en vrai tu fais bien d'ouvrir cette galerie ! Ca te motivera à écrire

Je me souviens quand tu m'avais fait lire ce texte OO (bon il y a un moment quand même). Je le trouve toujours aussi beau et j'ai hâte de voir les modifications que tu vas apporter

C'est trop beau ma Joy OO je veux tous tes poèèèèmes, j'exige de les voir

Merci mes amours et je vous poste donc mon conte russe alors je ne l'ai pas corrigé, il y a sans doutes des répétitions, tournures de phrases cheloues ainsi que des fautes mais en fait je me suis rendue compte il y a quelques minutes que pour mon devoir, je devais rendre un contre "comique" disons, et... ce n'est pas du tout ce que j'ai fais :'D Donc je poste quand même mon conte merveilleux, dites moi ce que vous en pensez (et si ça passe comme conte ou si ça fait bizarre)


Il était une fois dans un village russe un couple de parents heureux, qui allaient bientôt avoir un fils. Or, lorsque celui-ci vint au monde, il était difforme. Les moujikes (villageois russes) en voyant l'enfant décrétèrent alors qu'il s'agissait du fils de l'Impur (le diable) lui-même et qu'il ne devait pas rester ici. Les parents du pauvre enfant prétendirent alors qu'il était mort quelques jours après, afin de le protéger et de l'élever en secret. Fedor – c'est ainsi que le petit s'appelait – du alors grandir seul avec ses parents pour seule compagnie.

Un jour, son père mourut et sa mère en fut dévastée. N'ayant plus les moyens de s'occuper de son fils, elle le hâta de partir. Fedor fut donc obligé de partir en secret un soir pendant que tous les habitants du village dormaient. Il s'enfonça dans la forêt où il marcha des heures durant avant de trouver sur un arbre un message du tsar de Russie. Celui-ci annonçait que celui qui parviendrait à vaincre le dragon qui terrassait les villages et ses habitants serait récompensé en devenant son successeur. Le tsar n'avait qu'une fille et aucun fils. Fedor regarda l'affiche un moment avant d'entendre le cri d'une bête qui agonisait. Il se hâta alors en direction de l'animal dont la patte était coincée dans un piège. Il s'approcha du loup blessé. « Retire moi cet animal aux crocs diaboliques et je ne te croquerai pas ! » pleura le loup. Fedor n'hésita pas à ouvrir le piège pour libérer l'animal meurtri. « Je t'ai vu au loin regarder la quête qu'a lancé le tsar. Comme tu as été bon avec moi, je te fais cadeau de ces objets qui t'aideront au cours de ton périple. » Le loup offrit alors à Fedor une flûte de pan, un miroir ensorcelé ainsi qu'un grand bâton de bois. Fedor le remercia, rangea la flûte de pan et le miroir dans sa sacoche puis s'appuya sur le bâton. Il traversa un sentier de roses blanches et alla vers le palais du tsar, où tous ceux qu'il croisa sur son passage le dévisagèrent et se moquèrent de lui à cause de sa laideur. Fedor baissa la tête jusqu'à ce qu'il arrive devant le trône impérial. « Que viens-tu faire dans mon palais ? » lui demanda le tsar, offusqué de voir un être aussi misérable chez lui. « Je suis venu vous dire que je tuerai votre dragon, il ne fera jamais plus le moindre mal à personne. » lui répondit Fedor avec douceur. Le tsar et ses sujets se moquèrent de lui. « Tu es pauvre en tout et laid de surcroît ! Toi qui vient me faire honte dans ma demeure, avec un physique pareil, tu es sans aucun doutes le fils de l'Impur ! » s'offusqua sa grâce impériale, mais notre héros s'inclina simplement. « Je tuerai la bête et ramènerai la paix dans votre royaume, Votre Majesté. » lui lança calmement Fedor avant de partir.

C'est ainsi qu'il se dirigea vers la grotte du dragon, au sommet de la montagne d'or. En l'entendant arriver, la créature se dressa sur ses pattes et l'attendit avant de rétorquer « Toi l'étranger ! Comment oses-tu venir ainsi me déranger ? Tout comme les autres avant toi, apprêtes toi à brûler ! » et Fedor sorti la flûte de pan de sa sacoche en toute hâte afin d'en jouer. Le dragon s'apprêta alors à cracher des flammes lorsqu'il fini par l'endormir grâce au son de la mélodie qu'il sifflait dans l'objet magique. Il reprit le chemin de roses blanches, qui s'étaient teintées de rouges sur certains pétales et retourna au palais du tsar, s'appuyant sur son bâton, subissant à nouveau les moqueries de ses sujets. « Votre Majesté, je suis parvenu à endormir la bête, elle ne nuira jamais plus à personne. » « Tu l'as endormie ? Et tu oses revenir ici ? Endormir n'est pas tuer, essaies donc correctement si tu oses essayer, mais que je ne te revois plus pointer le bout de ton nez chez moi ou je me débarrasserai de toi comme aurais du le faire le dragon ! » le menaça le tsar. Fedor repartit alors au bas de la montagne d'or où il aperçut le dragon qui dormait encore. Il joua à nouveau de la flûte pour le réveiller. « Ça sent la chair russe... c'est encore toi l'étranger ! Tu m'as peut-être échapper une fois, mais cette fois-ci ce sera bien différent ! » Et la bête déploya ses immenses ailes avant de s'envoler vers Fedor, ouvrant sa gueule pour le tuer sous un torrent de flammes. Notre héros frappa alors trois fois le sol avec son bâton, et le monstre de feu se transforma en pierre et tomba en explosant sur le sol. Une fois la bête vaincue, Fedor retourna au palais du tsar en reprenant le chemin de roses qui étaient désormais rouges et il fut ensuite à nouveau moqué. « Votre Majesté, j'ai tué la bête, comme vous me l'avez demandé. » Le tsar se refusa pourtant à lui léguer son trône et la main de sa fille. « Tu as peut-être vaincu la bête, mais tu l'as fait car tu es le fils de l'Impur ! Je ne veux pas de toi ici ! » Fedor releva la tête qu'il avait gardé baissée jusque-là et regarda le tsar et la princesse. « Vous aviez dit que celui qui vaincrait le dragon... » mais le tsar ordonna qu'il sorte de son palais.

Fedor retourna dans la forêt et croisa le chemin d'un écureuil qui passait par là. « Où vas-tu ? » le questionna l'animal. « Je n'ai nulle part où aller et partout, je suis rejeté. » lui répondit tristement Fedor. « Emprunte le chemin de roses noires et tu trouveras ! » lui dit l'écureuil avant de disparaître en grimpant dans un arbre avec quelques noisettes qu'il venait de récolter. Fedor prit donc le chemin indiqué par le petit animal au pelage gris et roux et s'enfonça dans celui-ci. C'est alors qu'apparut la silhouette terrifiante – qui n'effraya pourtant pas notre héros – de l'Impur. Il le pointa du doigt en se moquant de lui. « C'est donc toi que l'on appelle mon fils ! Ce qui est sûr, c'est que tu n'es pas un fils de Dieu mon garçon ! » Fedor ne baissa pas la tête et lui fit face. « Je ne suis pas comme vous ! » s'indigna notre héros, refusant de croire à pareil mensonge et de subir plus encore les moqueries de tous ces gens. C'est ainsi qu'il sortit de sa sacoche le miroir enchanté et qu'il regarda dedans. Jamais, auparavant, Fedor n'y avait vu son reflet. « Je ne suis pas un monstre, je suis un homme ! » lança t-il à l'Impur avant de retourner le miroir contre lui. La figure démoniaque se mit à rire avant de cueillir une rose qu'il tendit à Fedor. « Tu es comme cette rose, tu sembles mauvais en apparence mais tu n'es certainement pas comme moi ! Pars, tu es libre de quitter ces lieux et de réclamer ce que l'on te doit ! » et l'Impur se volatilisa, pendant que notre héros retourna au palais du tsar, la tête haute, cueillant sur son passage une rose rouge qu'il tint dans sa main avec la rose noire. A son retour, plus personne ne se moqua de lui. « Votre Majesté, vous devez tenir votre promesse. J'ai fais mes preuves et vous avez besoin d'un successeur. » lui lança Fedor, confiant, droit et sûr de lui. Le tsar soupira. « Qu'est-ce-qui te laisse à penser que tu es celui dont j'ai besoin ? » Le jeune homme sortit alors son miroir et s'avança vers le tsar qui fut horrifié de le voir de plus près. Il se regarda à nouveau dans l'objet magique avant de retourner celui-ci vers son souverain. « Que voyez-vous Votre Majesté ? » Le tsar vit alors son reflet, celui d'un vieillard ridé, en mauvaise santé et que le temps avait abîmé. En voyant le regard de ses sujets il se leva. « Je suis un homme de parole, je te donne donc la main de ma fille et fais de toi mon héritier légitime ! »

Fedor rangea son miroir dans sa sacoche et baisa la main de la princesse avant de lui donner les deux roses, rouge et noire. Les noces furent ainsi célébrées peu de temps après, laissant gouverner notre belle Russie par une très belle personne. J'ai assisté au festin moi aussi, j'ai pris une part de pashka mais avant qu'elle ne puisse atteindre ma bouche, elle alla s'écraser dans ma barbe.

Je savais pas que tu avais fini en tout cas c'est cool que tu la postes ici è_é !

J'ai bien aimer, tu écris super bien OO genre les rimes et tout ça, non vraiment tu as fait un super travail et j'espère vraiment que tu vas avoir une bonne note (et puis si c'est comique, moi j'ai bien aimer le passage avec l'écureuil )

Sinon je n'ai pas vu de répétition à part peut-être "notre héro" que j'ai lu plusieurs fois

Oui, comme je te harcèle aussi de toutes façons pour voir tes travaux, je fais de même

Merci j'ai pas fais exprès pour les rimes, j'ai même pas vu qu'il y en avait omg pour l'écureuil je me suis permise une petite folie oui et merci du coup xD

Après quand je dis comique, c'est que le conte peut être facétieux (histoire d'idiot) ou merveilleux (plutôt fantastique) du coup... je peux sans doutes le remanier mais ça me ferait chier, là je dois faire l'analyse mais j'ai autre chose à faire, en plus faut que je le recopie à la main après

Mdrr bon bah si tu arrives à placer des rimes sans t'en rendre compte, c'est que tu es bien plus talentueuse que je le pensais

De toute façon cette petite répétition ne change en rien la qualité de ton conte

Mdrr merci du coup j'attends un mail de ma prof pour savoir si je peux garder ou si je change...

Voilà comme j'ai du le réécrire, voici le conte russe facétieux (censé être comique, attention vous allez mourir de rire.)

Il était une fois un idiot nommé Fedor qui habitait une petite isba près de la forêt. Ses cheveux étaient blonds comme les épis de blé et il était le fils d'un forgeron. Un jour de neige, couché sur le poêle, son père vint le voir pour lui demander d'aller chercher du bois dans la forêt. « Je n'en ai pas envie. » répondit Fedor, en essayant d'écraser les mouches qui avaient le malheur de tourner autour de lui. « Fedor, vas chercher du bois ou tu n'auras pas de dessert ce soir ! » « Bon d'accord, je vais y aller. » répondit-il à nouveau, attendant que son père s'en aille. Il alla chercher un petit pot de miel et une cuillère qu'il déposa dans sa sacoche en toute discrétion avant de partir dans la forêt avec son traîneau pour chercher du bois. « Si seulement je n'avais pas à travailler ! » songea t-il. C'est alors qu'il entendit des grognements à quelques pas d'ici. Laissant tomber le bois par terre, il alla voir d'où venait ce bruit. Il vit alors un ours avec la patte coincée dans un piège. « Aide moi étranger, et je ne ferais pas de toi mon repas ! » le supplia t-il. Fedor n'hésita pas à aller le sortir de son piège, et en réconfort, il lui offrit son petit pot de miel et sa cuillère. « Je te remercie l'étranger. Comme tu as été bon avec moi, je vais te dire un secret ! Le tsar est à la recherche de celui qui parviendra à tuer l'ogre qui vit dans ces bois et qui dévorent les moujikes qui ont le malheur de passer par là, et il fera tsar celui qui le tuera ! » lui confia l'ours en lui donnant trois allumettes et une cape d'invisibilité.

Fedor décida alors de trouver l'isba de l'ogre. Lorsqu'il la trouva, il se faufila discrètement jusqu'à la porte. Ne voyant pas l'ogre, il entra et regarda autour de lui. C'est alors qu'il vit un autre garçon, enfermé dans une cage. « Sors vite d'ici avant qu'il ne revienne ! » lui lança t-il. « Non, je suis venu tuer l'ogre ! » s'indigna Fedor. Le garçon lui fit signe de se rapprocher. « Dans ce cas, cache toi sous la table et rallume le feu de cheminée, il s'est éteint à ton arrivée ! » L'idiot s'exécuta en allumant une allumette et en la jetant dans la cheminée avant de se jeter sous la table en entendant la porte s'ouvrir. « Ça sent la carcasse russe ! Qui va là ? » grogna l'ogre. « Il n'y a personne ici, juste moi qui voudrait sortir. » lui répondit le garçon enfermé dans la cage. « Si tu as menti, je te mangerai tout cru ! » le menaça t-il avant de repartir dehors. L'idiot sortit alors de sous la table. « Il y a une clé sur la ceinture de l'ogre, pour me délivrer il te faudra l'attraper ! » lui lança le garçon emprisonné derrière ses barreaux de fer. Fedor attrapa alors sa cape d'invisibilité qu'il avait rangé dans sa sacoche et la mit lorsque l'ogre revint. « Ça sent la carcasse russe ! Tu m'as menti petit homme ? » hurla l'ogre. « Non, personne n'est venu par ici, autrement je ne serais déjà plus là ! » lui lança le garçon. Fedor avança discrètement vers l'ogre en récupérant la clé qui était pendue à sa ceinture, puis il retourna dans un coin de la salle en attendant qu'il parte. « Si j'apprends que tu as menti, je te ferais manger l'intrus tout cru et je te dévorerai ensuite ! » menaça l'ogre avant de s'en aller. L'idiot retira sa cape d'invisibilité qu'il rangea dans son sac et alla ouvrir la cage du garçon. Une fois libéré, l'ogre ouvrit la porte qui claqua et se referma, éteignant le feu que l'idiot avait rallumé en arrivant. « Je savais bien qu'il y avait une carcasse russe ici ! Tu vas payer pour m'avoir trompé ! » Fedor qui était sa proie, se dirigea vers le feu puis alluma une allumette qu'il jeta dans le bois encore fumant mais éteint, puis il remit sa cape et joua du fait que l'ogre ne pouvait plus le voir pour aller derrière lui et il le poussa dans le poêle. Il retira ensuite sa cape et parti avec le garçon en retournant au traîneau. Il alla ensuite jusqu'au palais du tsar avec son compagnon.

« Que faites vous dans mon palais ? » leur lança le tsar. « Nous avons tué votre ogre, dans la forêt. Vous n'en entendrez jamais plus parler ! » Le tsar les regarda tour à tour, mécontent des ces deux figures héroïques auxquelles il refusait de léguer la main de sa fille et son trône. « Puisque vous êtes deux et que ma fille ne peut être mariée à n'importe qui, je veux savoir qui a tué la bête et comment ! » Le garçon s'avança alors vers le tsar. « C'est grâce à moi que l'ogre est mort, je l'ai jeté dans les flammes et pouf ! Nous en sommes enfin débarrassés ! » L'idiot qui jusque là était resté muet sorti alors sa dernière allumette et sa cape d'invisibilité qu'il présenta au tsar. « J'ai utilisé deux de mes trois allumettes pour rallumer le feu de la isba de l'ogre Votre Majesté, et grâce à cette cape d'invisibilité, j'ai pu délivrer mon compagnon de sa cage et me faufiler derrière l'ogre en toute discrétion pour le pousser dans le poêle ! » Le tsar regarda un à un les deux jeunes hommes, puis les objets, avant de décréter « Puisque toi qui a parlé en second m'a montré comment tu as effectué ta mission, je te donne la main de ma fille et fais de toi mon successeur ! »

Et le garçon retourna chez lui, bredouille. Les noces furent ensuite célébrées, laissant Fedor et la princesse vivre heureux pour toujours. C'est ainsi que se termine mon récit, et puisse les sauveurs trompés toujours être éblouis par la vérité !

Je me suis amusée un peu avec des combinaisons de gifs, donc je vous fais partager mes horreurs

         

Mdrr ah c'est donc ça ce fameux "Perhaps" que vous sortiez tous et que je comprenais pas (mais j'avoue c'est drôle )

Mdrrrr je comprends ce que tu as fait pendant des heures au lieu de répondre

Quel talent ma soeur d'amour *-* Comme je te l'ai dit, j'adore ton conte, il est génial et c'est le plus cool des "Perhaps" du monde

Omg le perhaps tu peux le foutre à toutes les sauces
et c'est pas cool de ressortir le "take off your clothes" pour mes feels

Merci Lenachérie

Mais oui n'importe quoi pourrait aller devant ce "perhaps" en plus avec cet air dédaigneux omg

C'est tout Riri quoi

Pourquoi prier un dieu et lui rendre hommage
Du matin au soir, du soir au matin
Sans savoir jamais qui il est ni d'où il vient ?
Je vais vous faire part de mon avis sur ceci :

Le seul dieu qui existe, que l'on voit chaque jour est
Le dieu de la Mort. Il sévit à chaque instant,
Défait des vies à tout moment,
Libérant des âmes en peine ou créant
Du souci à celles qui restent.

Mais il est présent. On peut l'invoquer, le révoquer.
Il agit selon son bon vouloir et ne peut être manipulé.
Sa présence est certaine, et tout un chacun un jour
Sera amené à rencontrer ce dieu tout puissant
Si terrible, redoutable et si effrayant.

(Je poste à l'arrache, je dois le retravailler mais je voulais le garder quelque part )

Voilà voilà néanmoins n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez

Omg je sais pas pourquoi ça m'a fait penser à cette chanson



(non je ne suis pas du tout bizarre )

Sinon j'aime bien bon, j'imagine que tu devais pas être dans un bon jour pour écrire ça oo ça fait un peu quand tu veux aller te coucher et que tu te mets à réfléchir sur la vie mais c'est bien hein

Mdrrr effectivement la chanson va bien avec le texte perso j'ai pensé à GoT (the only god is Death. And what do we say to Death ? Not today )

Non sinon, c'est superbe et classe et ça fait bien réfléchir

Ptin j'ai fais plusieurs rimes et je l'avais pas vu mais merci les filles, et oui Artie c'est après GoT (et une bonne soirée déprimante ) que je l'ai écris du coup :') mais je le réécrirai mieux un peu plus tard, j'ai fais un autre poème et une réécriture si on veut, de mon texte (le premier posté, sur le/la juive) du coup je ferais ça dans quelques temps

Ah oui la chanson ça met une petite ambiance "sympa"